En Amérique latine, des milliers de personnes ont défilé au Mexique, en Colombie, au Guatemala ou encore au Brésil, où le président d’extrême droite Jair Bolsonaro a été ciblé pour sa gestion des incendies de la forêt amazonienne.

 

Antonio Guterres a convoqué les sommets pour accélérer le processus lancé par l'accord de Paris, signé par 195 pays en 2015.

Il s'attend à ce que de nouveaux pays s'engagent à être neutres en carbone d'ici 2050, mais a reconnu que beaucoup resterait à faire.

"Il est clair que nous sommes en retard", a-t-il confié à des journalistes au siège de l'ONU vendredi. "Les résistances sont nombreuses. Nous avons toujours un énorme problème avec le charbon en Asie".

"Mais il s'est produit une accélération intéressante ces derniers mois", a ajouté Antonio Guterres. "On voit que le climat est devenu une question électorale".