La mission s’est effectuée du 04 au 07 décembre 2022 dans la zone transfrontalière notamment à Saint Louis et à Diawling . L’objectif de la mission conjointe des UGP du Sénégal et de la Mauritanie était de visiter les réalisations au niveau du Sénégal et de la Mauritanie, d’organiser une rencontre d’échange et de concertation avec les différentes parties prenantes de la RBTDS. Elle a vu la participation de la Banque mondiale, de l’UICN WACA BAR ainsi que les instances de gouvernance de la RBTDS afin d’aider à élaborer une feuille de route pour les prochaines échéances et à retenir la meilleure formule pour la coordination des activités transfrontalières.
Au moins 75 personnes, dont une cinquantaine d’écoliers, ont été intoxiquées mardi par du dioxyde de soufre rejeté par l’industrie lourde dans deux villes du centre-ouest du Chili, où l’urgence environnementale a été décrétée.
Les villes de Quintero et Puchuncavi, situées au nord de Valparaiso et surnommées "le Tchernobyl du Chili" par Greenpeace, abritent des entreprises minières, pétrolières, cimentières, gazières et chimiques.
50 enfants et 25 assistants d’éducation ont été impactés par les effets des gaz toxiques
Maux de tête, démangeaisons des yeux et de la gorge, nausées, "50 enfants et 25 assistants d’éducation ont été impactés par les effets des gaz toxiques", indique un communiqué de la municipalité de Quintero. Placés en observation, ils ont pu quitter l’hôpital.
"Nous avons eu un pic de dioxyde de soufre qui a dépassé cinq fois la norme horaire. Quintero et Puchuncavi ont toléré cela pendant des décennies mais il faut que ça cesse", a déclaré Rubén Gutiérrez, le maire de Quintero, 31.000 habitants, à 120 km à l’ouest de Santiago.
Les autorités ont décrété l’urgence environnementale dans ces deux localités où les cours ont été suspendus, l’activité physique prohibée et toute source de chauffage interdite alors que les températures sont fraîches à l’approche de l’hiver austral.
Le dioxyde de soufre, indicateur de la pollution liée aux combustibles fossiles, fait partie des polluants de l’air dits classiques avec les particules en suspension, l’ozone, le dioxyde d’azote et le monoxyde de carbone.
La pollution s’est accrue dans la zone de 50.000 habitants lorsque le gouvernement chilien l’a convertie à partir de 1958 en un centre industriel qui abrite aujourd’hui quatre centrales électriques au charbon et des raffineries de pétrole et de cuivre.
Six mois après la COP26 à Glasgow, les parties à la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC) se réunissent du 6 au 16 juin à la Conférence de Bonn sur le changement climatique (organes de mise en œuvre) pour faire avancer les négociations sur la réponse mondiale à l'aggravation de la crise climatique. La Conférence annuelle des Nations Unies sur les changements climatiques de cette année a débuté ce 06 juin, conçue pour jeter les bases du succès de la COP27 à Charm el-Cheikh, en Égypte.
Les gouvernements se réunissent pour la première fois depuis la conclusion de la Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques COP26 à Glasgow en novembre dernier, au cours de laquelle les détails opérationnels de l'Accord de Paris ont été finalisés, sonnant ainsi dans l'ère de la mise en œuvre de l'accord.
À Bonn, les gouvernements se concentreront sur les travaux dans les domaines clés de l'atténuation, de l'adaptation, du soutien aux pays en développement - en particulier la finance - et des pertes et dommages.
Prenant la parole, la, présidente du groupe des 46 pays les moins avancés (PMA) dans ces pourparlers, Mme Madeleine Diouf SARR du Sénégal, a exposé les attentes du groupe des PMA en déclarant que « La crise climatique s'aggrave : nos populations et nos communautés souffrent des impacts dévastateurs du changement climatique, alors que les émissions continuent d'augmenter. À Bonn, les gouvernements doivent s'engager à prendre des mesures équitables et ambitieuses pour réduire les émissions et apporter un soutien adéquat aux plus pauvres et aux plus vulnérables, afin que nous puissions nous adapter aux impacts du changement climatique et remédier aux pertes et préjudices qu'il engendre. »
Les principales questions abordées à Bonn portent sur : un nouvel objectif en matière de financement climatique afin d'aider les pays en développement à faire face au dérèglement climatique ; un programme de travail visant à relever les objectifs de réduction des émissions des pays afin qu'ils atteignent le niveau nécessaire pour limiter le réchauffement à 1,5°C ; le financement de la lutte contre les pertes et les préjudices causés par le changement climatique ; et le lancement d'un « bilan mondial » destiné à évaluer les progrès réalisés dans la mise en œuvre de l'accord de Paris. Dans ce cadre, Mme Sarr a soutenu que : « Les effets du changement climatique frappent déjà nos pays, et nous ne pouvons pas y faire face seuls. Des fonds doivent être octroyés pour aider nos communautés à s'adapter aux conséquences du changement climatique. Lors de la COP26, les pays développés se sont engagés à doubler le financement de l'adaptation, mais on ne sait toujours pas comment et quand ces fonds parviendront aux communautés qui en ont le plus besoin. »
En réponse aux appels en faveur d'un financement des pertes et préjudices causés par le changement climatique et à la proposition du G77+Chine de créer une structure de financement pour faire face aux pertes et préjudices, les pays ont convenu d'entamer un « dialogue de Glasgow » sur le financement des pertes et préjudices lors de cette session de Bonn.
Mme Sarr a aussi souligné que : « La question du financement des pertes et des préjudices déjà subis par nos pays en raison du changement climatique mérite plus qu'un dialogue. Les pays qui ont une responsabilité et des capacités bien plus grandes que les nôtres doivent combler le déficit de financement afin que les coûts ne retombent pas sur les foyers déjà vulnérables lorsque les impacts du changement climatique frappent - quand des maisons et des hôpitaux sont balayés par les eaux, quand des récoltes sont détruites, quand des îles sont englouties et que des communautés entières sont déplacées. L'incapacité à réduire les émissions et à assurer un financement adéquat de l'adaptation entraîne de plus en plus de pertes et de préjudices dans nos pays, et c'est nous qui en payons le prix. »
Concernant le besoin urgent de réduire les émissions mondiales, Mme Sarr a dans sa conclusion déclaré que : « Les niveaux actuels d'émissions vont provoquer un réchauffement qui menace la survie de centaines de millions de personnes. Il est urgent de réduire radicalement les émissions mondiales. Limiter le réchauffement à 1,5°C est possible, mais encore faut-il de la volonté politique. Nous appelons une nouvelle fois les gros émetteurs à s'engager sur des objectifs de réduction des émissions plus importants dans leurs Contributions déterminées au niveau national, afin de traduire leur juste part de l'effort mondial pour atteindre les objectifs de l'Accord de Paris. »
Six mois après la COP26 à Glasgow, les parties à la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC) se réunissent du 6 au 16 juin à la Conférence de Bonn sur le changement climatique (organes de mise en œuvre) pour faire avancer les négociations sur la réponse mondiale à l'aggravation de la crise climatique. La Conférence annuelle des Nations Unies sur les changements climatiques de cette année a débuté ce 06 juin, conçue pour jeter les bases du succès de la COP27 à Charm el-Cheikh, en Égypte.
Les gouvernements se réunissent pour la première fois depuis la conclusion de la Conférence des Nations Unies sur les changements climatiques COP26 à Glasgow en novembre dernier, au cours de laquelle les détails opérationnels de l'Accord de Paris ont été finalisés, sonnant ainsi dans l'ère de la mise en œuvre de l'accord.
À Bonn, les gouvernements se concentreront sur les travaux dans les domaines clés de l'atténuation, de l'adaptation, du soutien aux pays en développement - en particulier la finance - et des pertes et dommages.
Prenant la parole, la, présidente du groupe des 46 pays les moins avancés (PMA) dans ces pourparlers, Mme Madeleine Diouf SARR du Sénégal, a exposé les attentes du groupe des PMA en déclarant que « La crise climatique s'aggrave : nos populations et nos communautés souffrent des impacts dévastateurs du changement climatique, alors que les émissions continuent d'augmenter. À Bonn, les gouvernements doivent s'engager à prendre des mesures équitables et ambitieuses pour réduire les émissions et apporter un soutien adéquat aux plus pauvres et aux plus vulnérables, afin que nous puissions nous adapter aux impacts du changement climatique et remédier aux pertes et préjudices qu'il engendre. »
Les principales questions abordées à Bonn portent sur : un nouvel objectif en matière de financement climatique afin d'aider les pays en développement à faire face au dérèglement climatique ; un programme de travail visant à relever les objectifs de réduction des émissions des pays afin qu'ils atteignent le niveau nécessaire pour limiter le réchauffement à 1,5°C ; le financement de la lutte contre les pertes et les préjudices causés par le changement climatique ; et le lancement d'un « bilan mondial » destiné à évaluer les progrès réalisés dans la mise en œuvre de l'accord de Paris. Dans ce cadre, Mme Sarr a soutenu que : « Les effets du changement climatique frappent déjà nos pays, et nous ne pouvons pas y faire face seuls. Des fonds doivent être octroyés pour aider nos communautés à s'adapter aux conséquences du changement climatique. Lors de la COP26, les pays développés se sont engagés à doubler le financement de l'adaptation, mais on ne sait toujours pas comment et quand ces fonds parviendront aux communautés qui en ont le plus besoin. »
En réponse aux appels en faveur d'un financement des pertes et préjudices causés par le changement climatique et à la proposition du G77+Chine de créer une structure de financement pour faire face aux pertes et préjudices, les pays ont convenu d'entamer un « dialogue de Glasgow » sur le financement des pertes et préjudices lors de cette session de Bonn.
Mme Sarr a aussi souligné que : « La question du financement des pertes et des préjudices déjà subis par nos pays en raison du changement climatique mérite plus qu'un dialogue. Les pays qui ont une responsabilité et des capacités bien plus grandes que les nôtres doivent combler le déficit de financement afin que les coûts ne retombent pas sur les foyers déjà vulnérables lorsque les impacts du changement climatique frappent - quand des maisons et des hôpitaux sont balayés par les eaux, quand des récoltes sont détruites, quand des îles sont englouties et que des communautés entières sont déplacées. L'incapacité à réduire les émissions et à assurer un financement adéquat de l'adaptation entraîne de plus en plus de pertes et de préjudices dans nos pays, et c'est nous qui en payons le prix. »
Concernant le besoin urgent de réduire les émissions mondiales, Mme Sarr a dans sa conclusion déclaré que : « Les niveaux actuels d'émissions vont provoquer un réchauffement qui menace la survie de centaines de millions de personnes. Il est urgent de réduire radicalement les émissions mondiales. Limiter le réchauffement à 1,5°C est possible, mais encore faut-il de la volonté politique. Nous appelons une nouvelle fois les gros émetteurs à s'engager sur des objectifs de réduction des émissions plus importants dans leurs Contributions déterminées au niveau national, afin de traduire leur juste part de l'effort mondial pour atteindre les objectifs de l'Accord de Paris. »
La croissance explosive des opérations extractives dans le monde se déroule souvent sur les terres des peuples autochtones sans leur consentement, causant des dommages irréparables à leurs moyens de subsistance, leurs cultures, leurs langues et leurs vies, ont déclaré des orateurs à l'Instance permanente sur les questions autochtones. Celle-ci a ouvert sa session de 2022 en lançant des appels au respect de leur consentement libre, préalable et éclairé sur des décisions existentielles qui déracinent leurs communautés.
Réunis dans la salle de l'Assemblée générale des Nations unies pour la première fois en trois ans, les représentants autochtones ont été accueillis lors d'une cérémonie traditionnelle dirigée par Katsenhaienton Lazare, du clan de l'Ours, Mohawk des Haudenosaunee, qui a reconnu la nature dans sa grande diversité - les vents, les tonnerres, les éclairs, le soleil et les autres forces vitales - qui donnent un but et une protection à l'humanité, et a invoqué des générations d'ancêtres traditionnels qui ont encore beaucoup à offrir aux sociétés d'aujourd'hui.
Cette invocation s'inscrivait dans le cadre du thème de la vingt et unième session de l'Instance - « Peuples autochtones, entreprises, autonomie et principes des droits de l'homme relatifs à la diligence raisonnable, y compris le consentement préalable, libre et éclairé » - et du lancement de la Décennie internationale des langues autochtones, 2022-2032.
Une infinité d'histoires sacrées
Dans son discours d'ouverture, le président Darío José Mejía Montalvo, de Colombie, a déclaré que le thème 2022 touche aux visions du cosmos grâce auxquelles les peuples autochtones ont développé leurs systèmes d'alimentation, de culture et de coexistence avec la nature sur leurs territoires.
« Nous partageons une relation holistique avec la nature, où les droits ne sont pas anthropocentriques », a-t-il expliqué. « Une infinité d'histoires et de récits sacrés sous-tendent nos visions du monde ».
Les ancêtres aussi ont des droits - y compris celui d'exister - car leur tâche est pérenne dans la préservation de la vie. Ces pratiques ancestrales maintiennent la vie sous toutes ses formes, dans la dignité.
C'est pourquoi, selon lui, la question de savoir si les connaissances indigènes sont scientifiques est « dénuée de sens » : les notions de vie, d'énergie et de spiritualité sont synonymes. Les séparer d'un point de vue économique, religieux ou autre mène à la confusion, aux disputes et aux affrontements inutiles.
Bafouer les consentements préalables
Selon lui, si les droits des peuples autochtones à l'autodétermination, à la terre, aux ressources et, surtout, au consentement libre, préalable et éclairé sont garantis par les normes internationales, ces droits ne sont souvent pas appliqués, même dans les pays où ils sont légalement reconnus. Au contraire, ils sont régulièrement violés lors de l'octroi de contrats d'exploitation forestière, de bois d'œuvre, de mines et de méga-barrages.
Le pillage de leurs ressources, la perte de leurs modes de vie, de leurs cultures et de leurs langues, ainsi que la disparition et le meurtre de leurs dirigeants sont les résultats d'activités commerciales néfastes.
Il a exhorté les États à contribuer à l'élaboration d'un instrument juridiquement contraignant pour réglementer les activités commerciales transnationales - un instrument qui adhère aux droits de l'homme internationaux et comprend des dispositions explicites pour les droits des peuples autochtones sur leurs terres, leur territoire et leurs ressources, et pour leur consentement libre, préalable et éclairé sur les décisions qui les concernent.
Il a décrit la Déclaration sur les droits des peuples autochtones et la Convention 169 de l'Organisation internationale du travail (OIT) comme des « règles fondamentales » à cet égard, et a averti que les industries, de la mode et des médias aux textiles, en passant par la production alimentaire et pharmaceutique, perpétuent des « modèles d'économie d'enclave " qui exproprient les peuples autochtones de leurs connaissances et de leurs pratiques. « Tous ces efforts doivent être liés entre eux et intensifiés », a-t-il déclaré.
Source: ONU Info
La Première dame de Côte d’Ivoire, Dominique Ouattara a fait un plaidoyer en faveur des femmes agricultrices, le lundi 9 mai 2022, à l’occasion du caucus des femmes dans le cadre de la COP 15
La Première dame de Côte d’Ivoire, Dominique Ouattara a fait un plaidoyer en faveur des femmes agricultrices, le lundi 9 mai 2022, à l’occasion du caucus des femmes dans le cadre de la COP 15.
Elle a invité l’ensemble de la communauté des bailleurs, les partenaires au développement, le secteur privé, ainsi que les pouvoirs publics à œuvrer en faveur de l’autonomisation des femmes agricultrices.
Pour Dominique Ouattara, cela ne peut être possible qu’à travers la sécurisation foncière et la création d’une banque pour les femmes rurales. Ce qui leur permettra d’avoir accès au crédit et ainsi développer leurs activités.
’’Nos attentes sont importantes parce que nous devons coûte que coûte gagner ensemble le pari de l’autonomisation des femmes agricultrices à travers diverses mesures, dont la sécurisation foncière et la création d’une banque pour les femmes rurales’’, a déclaré la Première dame ivoirienne.
Poursuivant, elle a fait noter que ’’améliorer la vie des femmes, c’est améliorer la vie de toutes les nations’’. L’épouse du Chef de l’Etat ivoirien en veut pour preuve une étude de la Banque Mondiale en 2017 qui révèle que les femmes sont l’épine dorsale de l’économie rurale, surtout dans les pays en développement. Elles représentent pratiquement la moitié des agriculteurs dans le monde. Cependant, en dépit du rôle et l’influence des femmes dans les économies des pays en développement, l’appui dont elles bénéficient est encore bien inférieur à celui des hommes.
Dominique Ouattara a à l’ occasion dénoncé le fait que dans le domaine agricole, beaucoup de femmes sont souvent marginalisées ou même exclues des marchés à forte valeur ajoutée que ce soit pour l’intérieur ou l’exportation, parce qu’elles manquent de moyens de transport, de stockage adéquat, d’installations de transformation et manquent souvent d’informations.
Selon la Première dame, bien que les organisations de producteurs telles que les coopératives et les partenariats publics-privés fournissent de plus en plus de services aux producteurs, relativement peu de femmes en bénéficient en raison des coûts éventuels ou des contraintes sociales.
Dans le domaine du foncier également, a expliqué Dominique Ouattara, les femmes se heurtent aux règles coutumières qui restreignent leurs droits à la propriété foncière malgré les avancées politiques enregistrées dans certains pays africains. Cet état de fait, a t-elle poursuivi , les placent ainsi dans une position permanente de faiblesse et d’insécurité foncière qui les empêchent de s’investir pleinement et en toute quiétude dans les productions agricoles.
Au nombre des initiatives qui pourraient faire école, la Première dame est revenue sur le Fonds d’Appui aux Femmes de Côte d’Ivoire (FAFCI) qu’elle a mis en place en 2012 pour permettre aux femmes d’acquérir plus d’autonomie, pour améliorer leurs conditions de vie et celles de leurs familles.
Le FAFCI est un fonds à taux d’intérêt réduit qui est octroyé sans exigence de garantie, aux femmes non éligibles aux prêts classiques et qui leur permet de financer leurs activités génératrices de revenus. Il est doté d’un capital de 25 milliards de F CFA et a permis à ce jour, à plus de 300.000 femmes ivoiriennes d’être financièrement autonomes, et de prendre en charge leurs familles, soit plus de 2 millions de personnes épargnées de la pauvreté.
À l’ occasion de ce Caucus des femmes, Dominique Ouattara avait à ses côtés, la Première dame de la République Démocratique du Congo, Mme Denise Tchisekedi , Madame Tarja Halonen, ambassadeur des Nations Unies pour les terres et anciennement Présidente de la Finlande, Monsieur Abdulla Shahid, Président de la 76eme Session de l’Assemblée Générale des Nations Unies et Amina Mohammed, Vice-Secrétaire Générale des Nations Unies.
Fatou NIANG envoyée spéciale
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