Mais les pays du Sud réclament aujourd'hui une accélération des négociations sur le financement des "pertes et dommages" subies, qu'un groupe d'ONG a récemment estimé à 300 milliards par an en 2030.

Certains Etats réclament la mise en place d'un mécanisme spécifique de financement, qui pourrait être alimenté par exemple par une taxe sur les billets d'avion internationaux, selon des observateurs.