Le chef du système judiciaire, Ebrahim Raisi, a qualifié la mesure de "sédatif" et appelé à s'attaquer aux "racines" du problème.

Le maire de Téhéran, Pirouz Hanatchi, a appelé à cibler les industries utilisant "du mazout et de l'essence".

Les principales cause de la pollution sont les véhicules lourds, les motos, les raffineries et les centrales thermiques, selon un rapport publié en 2018 par la Banque mondiale.

Selon des chiffres officiels publiés dans la presse iranienne, la pollution de l'air provoque chaque année 30.000 décès en Iran.