En avril dernier, dix personnes étaient mortes à Rio de Janeiro en raison de pluies diluviennes. Celles-ci avaient ensuite provoqué l'effondrement d'un édifice construit illégalement, tuant 24 personnes.

"Malheureusement, dans le Rio de Janeiro du XXIe siècle, nous connaissons toujours les problèmes du XIXe", a déploré le biologiste et militant écologiste Mario Moscatelli.

"Si les gens continuent à vivre dans des zones à risque (berges de rivières, lagunes, coteaux), des glissements de terrain et des inondations continueront à se produire", a-t-il affirmé à l'AFP.