Pour autant, avec l'existence de "circonstances exceptionnelles", "une porte étroite reste entrouverte mais son franchissement sera difficile", estime l'ONG Robin des Bois.

Robin des Bois souligne que les transactions seront examinées par les experts de l'UICN, qui se sont déclarés par le passé défavorables à ce que des éléphants sauvages soient capturés pour être placés en captivité.

"Les demandeurs devront par ailleurs scientifiquement prouver que ces exportations bénéficient à la conservation des éléphants d’Afrique dans leur milieu naturel", ajoute l'ONG.

 Créée il y a plus de 40 ans, la CITES fixe les règles du commerce international de plus de 35.000 espèces de faune et de flore sauvages et dispose d'un mécanisme qui lui permet d'imposer des sanctions aux pays qui ne respectent pas ces règles.