"Nous les nourrissons à la main avec tous les nutriments dont ils ont besoin et ce sera comme ça jusqu'en avril ou mai à l'arrivée espérée de la pluie", explique-t-il.

Durement atteints psychologiquement et financièrement, les agriculteurs de l'île devraient voir disparaître certaines exploitations mais beaucoup se tournent quand même déjà vers l'avenir. A l'instar de Rick Morris, qui se veut optimiste: "quand ces feux vont cesser, nous pourrons nous regrouper et avancer tous ensemble", assure-t-il. "Nous avons été brûlés, pas brisés".