"L'industrie minière est beaucoup plus sûre qu'il y a 10 ans, mais moins que dans 10 ans. Il y a toujours un impact, il n'y a pas d'activité humaine qui n'ait pas d'impact", rétorque Gustavo Lagos.

La législation chilienne n'encadrant pas la fermeture des vieux barrages, le gouvernement cherche des alternatives et a mis en place un système de surveillance inspiré de celui des volcans en activité.

 

Transfert vers des zones plus sûres, installation de centrales à énergie solaire à la surface ou les recouvrir de matière organique pour reboiser ces vastes étendues: plusieurs pistes sont à l'étude.

Autre option, donner une seconde vie aux résidus. C'est ce que fait l'entreprise Valle Central qui récupère le cuivre et le molybdène, un métal dérivé du cuivre, dans la mine de El Teniente.