Dans le collimateur des défenseurs du climat, outre les Etats-Unis qui sortiront de l'Accord de Paris en novembre 2020, se trouvent la Chine et l'Inde, qui insistent, avant d'évoquer leurs propres engagements révisés, sur la responsabilité des pays développés à faire plus et à respecter leur promesse d'aides financières aux pays en développement.

Mais aussi l'Australie et le Brésil, accusés de vouloir introduire dans les discussions sur les marchés carbone des dispositions qui selon les experts saperaient l'objectif même de l'Accord de Paris.