De toute cette effervescence ne reste aujourd'hui que San Juancito, devenu un quartier de la grande banlieue de Tegucigalpa d'à peine 1.500 habitants. "C'est un village fantôme. Ici il n'y a pas de travail, il n'y a rien", se lamente Marco Seaman, qui, à l'âge de 60 ans, hante les étroites rues pavées de San Juancito.