Les criquets ont déjà détruit ses cultures de colza, de tournesol, de piments et de tabac, qu'elle avait payées avec un prêt de 45.000 roupies (260 euros) du gouvernement, une fortune en milieu rural.

Sans récolte, elle craint de ne pas pouvoir rembourser son prêt. Et soupire: "tout ce qu'il me reste, c'est pleurer."