Ces votes devront être confirmés en séance plénière d'ici le 28 août, date de la clôture de la CITES. Si c'est le cas, le commerce international de ces espèces ne sera pas totalement interdit mais fera l'objet de permis d'exportation ou un certififcat de réexportation à condition qu'il ne nuise pas à leur survie dans la nature.

La CITES peut imposer des sanctions aux pays qui ne respectent pas ces règles.

En mars, une étude de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) avait révélé que 17 espèces de raies et requins sur les 58 dernièrement évaluées étaient classées à risque d'extinction, avec des craintes très fortes pour le requin mako et le petit requin-taupe.