Selon un récent rapport de l'International Institute for Environment and development, les familles rurales du Bangladesh dépensent 2 milliards de dollars par an pour réparer les dommages causés par les cyclones et autres événements extrêmes.

 

Les pays les plus pauvres s'inquiètent aussi des négociations sur les marchés carbone, dernier reliquat des règles d'application de l'Accord de Paris qui n'avait pas pu être adopté à la COP24.

Si les nouvelles règles régulant les marchés carbone internationaux sont mal conçues, elles risquent de saper les objectifs de l'Accord de Paris, selon les experts. Alors "un mauvais résultat serait pire que pas de résultat du tout", estime Kelly Levin, du World Resources Institute.