L'établissement doit également servir de "centre de réhabilitation" pour animaux saisis, "le trafic d’animaux étant le troisième plus lucratif après les armes et la drogue et la deuxième cause de disparitions d'espèces", relève Lorane Mouzon, également co-présidente.

Pour assurer le fonctionnement de l'établissement, avec un budget mensuel estimé à 100.000 euros, l'équipe souhaite développer un projet économique (restaurant, visites, centre de formation), mais sans contact direct entre visiteurs et animaux, en utilisant par exemple la réalité virtuelle.

 

Quant aux personnels, les 17 salariés seront repris "pour ceux qui veulent tenter l'aventure" souligne Lamya Essemlali, tout en reconnaissant une certaine inquiétude dans l'équipe.